Conseil en Stratégie Bas-carbone

Raison d'être

500ppm accompagne les organisations dans la prise en compte des enjeux de durabilité, et en particulier dans la réduction de leur empreinte carbone, et leur adaptation au changement climatique.

Grâce à ses compétences en Sciences du climat, en Stratégie et en Organisation, notre cabinet a développé des méthodologies qui permettent d'établir des feuilles de routes vers la décarbonation de leurs activités et vers l'adaptation aux nouvelles conditions opérationnelles, avec volontarisme mais réalisme.

Nos objectifs : que le taux de CO2 dans l'atmosphère ne dépasse pas 500 ppm, pour limiter l'ampleur de la catastrophe qui nous menace, et que nos organisations résistent aux changements inévitables qui se profilent.

Notre raison d'être : mettre nos compétences au service des organisations, pour les aider à définir et à suivre une stratégie bas-carbone.

Notre philosophie : nos efforts sont décarbonés, nous ne les ménageons pas...

Feuille de route

Une approche rationnelle

Avec une vision scientifique pointue, une méthodologie de cabinet de conseil, et une compréhension économique éprouvée, 500ppm aide ses clients à concilier les efforts nécessaires avec une stabilité économique et sociétale.

Réduction et adpatation sont deux volets complémentaires : la réduction de l'empreinte participe à l'effort commun visant à limiter le déréglement climatique, avec une vision stratégique ; l'adaptation permet aux organsations de prendre conscience des inévitables conséquences du changement, et de s'y préparer, avec un regard opérationnel.

En synthétisant les sujets techniques sous-jacents et les nombreuses publications scientifiques sur ces sujets, nous expliquons les enjeux et les alternatives de façon claire, pour que chacune des parties prenantes en prenne conscience : grand public, clients, employés, dirigeants, financiers, politiques.

Nous fondons nos conseils sur des éléments factuels, et visons l'efficacité des actions entreprises.

Panneaux solaires

Les étapes d'une stratégie de réduction

Expliquer les enjeux
pour que les intervenants comprennent les tenants et les aboutissants des sujets Climat, Biodiversité, Cycle de l'eau et de l'azote, ...
Expliquer le déréglement climatique
Calculer l'empreinte carbone
pour faire apparaître de premières pistes d'amélioration, simples et raisonnables. Celles-ci sont souvent sources d'économies et de satisfaction pour les collaborateurs.
Calculer l'empreinte carbone
Réduire les émissions
en utilisant des méthodologies éprouvées, et en revisitant les processus, le portefeuille produits, ... Nos equipes sont rodées en gestion du changement.
Proposer des pistes d'améliorations
Suivre les améliorations
grâce à des outils simples, compréhensibles, accessibles et permettre ainsi aux collaborateurs de visualiser au quotidien les résultats de leurs efforts.
Suivre les améliorations
Communiquer
auprès des employés, des clients, des actionnaires, pour présenter les mesures prises et les résultats obtenus
Communiquer

Les étapes d'une stratégie d'adaptation

Expliquer les enjeux
pour que les intervenants comprennent les risques qui pèsent sur les conditions de travail, les bâtiments, les infrastructures, les coûts des assurances, ...
Expliquer la résilience
Analyser les risques et les vulnérabilités
avec une approche systématique, fondée à la fois sur la géographie des opérations, les données climatiques passées et projetées, et sur l'organisation de l'entité et des partenaires commerciaux.
Analyser la vulnérabilité
Analyser la résilience climatique
en étudiant les conséquences des aléas sur les personnes, les biens et les opérations : risques vitaux ; étapes opérationnelles préservées, ralenties, ou rendues impossibles.
Proposer des pistes d'améliorations
Définir une trajectoire d'adptation
grâce à une modification des procédures, des bâtiments et infrastructures, voire des partenaires commerciaux. Cette modification est planifiée sur la durée en prenant en compte les risques.
Suivre les améliorations
Communiquer
auprès des employés, des clients, des actionnaires, pour présenter les risques identifiés et les mesures prises.
Communiquer

Qui sommes-nous ?

Matthieu Coutière

Depuis ses études à l'Ecole Polytechnique, Matthieu Coutière travaille à la mise en oeuvre d'innovations utiles pour l'économie, initialement dans le domaine des technologies numériques.

Depuis 2015, conscient de l'urgence climatique croissante, il consacre son énergie à des sujets "éco-friendly", à la fois au travers de la direction d'une start-up améliorant la qualité de l'air, mais ausi au travers de ses activités d'enseignement (ENS Paris Saclay - DER Génie Civil et Environnement), et en investissant et participant à la stratégie de plusieurs start-up éco-innovantes (nourriture, eau, éco-tourisme).

Avide de nouveaux sujets, il participe aux réflexions du groupe X-Environnement des Alumnis de l'Ecole Polytechnique, et au lancement du groupe de réflexion "Numérique et Environnement" des Aluminis de Télécom Paris.

Désireux de partager son approche, il fonde 500ppm, pour proposer des améliorations concrètes face à la dérive de nos modes de production et de consommation.

Ce savoir-faire associe une culture scientifique forte, un goût prononcé pour l'innovation, et une méthodologie structurée (issue de 13 années de stratégie d'entreprise en Cabinet, en Entreprise, puis en Direction générale).

Suite à sa formation aux Mines, Françoise Rifqi a rejoint le monde industriel (Saint-Gobain, PSA/Stellantis) pour y apporter trois regards : l'innovation, pour proposer des produits désirables ; la qualité, pour des produits durables ; et l'excellence opérationnelle, pour des produits rentables.

Face à l'épuisement des ressources et au dérèglement climatique, Françoise apporte un regard très expérimenté et instructif aux entreprises qui repensent leurs processus industriels, sous les contraintes, nouvelles, de la durabilité et de la sobriété.

Elle est convaincue que les défis environnementaux et l’évolution du cadre réglementaire sont pour les entreprises une opportunité d’engager une démarche de transformation, qui associe toutes les parties prenantes, et qui met le développement durable au cœur de la performance, au même niveau que la rentabilité, la prestation et la qualité.

Face à ces enjeux complexes, multifactoriels et parfois antinomiques du profit à court terme, les démarches qualité et lean six sigma sont pertinentes, par exemple l’analyse de risque pour prioriser les enjeux, la chasse aux gaspillages et l’optimisation des flux pour réduire la consommation de ressources et l’empreinte carbone, ou les outils d’aide à la décision pour accompagner les choix stratégiques.

Françoise Rifqi
Thierry Bergier

Fort de son expertise en évaluation et normalisation, Thierry Bergier sait faire converger des acteurs d'intérêts différents -voire divergents- vers un point d'accord, pour le bien commun, avec rigueur et objectivité. Au cours des années, il a mis sa capacité d'écoute et de conciliation au service de nombreux domaines (Secteur public, Territoires, Agro-alimentaire, Construction, Transport, ...)

Outre ses activités au sein de 500ppm, Thierry Bergier participe activement aux réflexion environnementales de ses réseaux d'Alumni : Intermines et XMP.

Sa capacité à fédérer, à inciter chacun à concéder un peu de terrain, est une force nécessaire à l'heure où l'ensemble de la société et de l'économie doit se remettre en question.

Docteur en urbanisme, diplômé de l’Essec et de l'ENS, Vincent Le Rouzic cumule dix ans d'expérience dans le domaine de l'urbanisme, de l'enseignement supérieur et de l'innovation. Ses travaux de recherche sur la ville durable et le logement abordable ont été distingués par le Prix spécial de thèse sur la ville (PUCA/CDC) et le Prix junior de l’immobilier (Fondation Palladio).

Vincent Le Rouzic a participé à la création en France des organismes de foncier solidaire visant à développer une offre de logements en accession sociale à la propriété durablement abordables. Vincent Le Rouzic a notamment conseillé des acteurs de l'immobilier et de la finance, des collectivités territoriales et le Ministère du logement.

Conscient de l'urgence climatique, Vincent Le Rouzic a participé à la mobilisation citoyenne de la Cop-15 de Copenhague (2009) et est membre de différentes initiatives citoyennes pour faire émerger un monde restant sous les 2°C (Time For The Planet, Essec Alumni Transition, Association Francis Hallé pour la forêt primaire, UrbaMonde).

Vincent Le Rouzic

500ppm peut compter sur le soutien et le professionalisme de spécialistes de nombreux domaines couvrant les enjeux majeurs auxquels nous sommes confrontés : immobilier, transport, eau, écosystèmes, ...

Questions fréquentes

Le changement climatique...

Quelle est la situation climatique ?
Le climat se dérègle... Cela se traduit de façon sensible par une augmentation de la température globale sur Terre, des sécheresses, des innondations, des tempêtes et cyclones, ... Ces éléments sont aussi mesurés statistiquement, et comparés à la situation de la période 1850-1900.
Il est établi que ce déréglement est lié à la quantité de Gaz à Effets de Serre (GES) dans l'atmosphère, en particulier, le CO2 ou le méthane. Ces gaz limitent la ré-émission de la chaleur reçue du soleil, donc la température sur Terre augmente...
La situation est-elle réversible ?
Malheureusement, la situation est difficilement réversible : les gaz émis dans l'atmosphère y resteront pendant des siècles. Ils sont absorbés peu à peu par la végétation ou les océans, mais le rythme est lent.
La Terre était dans un état d'équilibre, où le CO2 émis et le CO2 captés naturellement se compensaient. Mais l'utilisation des énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz) a libéré dans l'atmosphère des quantités gigantesques de Carbone qui y étaient contenues depuis des millions d'années.
Le rythme du chagement a été si rapide que l'équilibre a été rompu : le CO2 stagne dans l'atmosphère, et la température augmente...
Depuis quand les scientifiques sont-ils informés de la situation ?
Le premier article de presse mentionnant publiquement l'impact des activités humaines sur le climat est un article du New-York Times de 1956.
L'impact potentiel du CO2 était connu depuis le début du XXe siècle, mais il n'était pas établi que le CO2 était effectivement massivement émis dans l'atmosphère.
La prise de conscience politique date de 1988, avec la création du GIEC (Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat).
Comment la situation va-t-elle évoluer si rien n'est fait ?
Au rythme où se dégrade la situation, si rien n'est fait, la situation va fortement empirer : étés systématiquement caniculaires, hivers systématiquement tempétueux, sécheresses annuelles.
D'après le dernier rapport du GIEC, sans modification de notre "empreinte carbone", la température moyenne du globe pourrait à terme augmenter de 5°C par rapport à l'ère pré-industrielle.
Qu'est-ce que "l'empreinte carbone" ?
L'empreinte carbone d'une activité est la quantité de CO2e (ou gaz à effet de serre) rendue nécessaire par cette activité : énergie pour extraire puis produire les matériaux constitutifs d'un objet, puis pour le fabriquer, le transporter, le stocker, l'utiliser.
Elle comprend le "CO2 importé".
En 2019, le CO2e "territorial" était de 436 millions de tonnes, et le CO2e "importé" de 227 millions de tonnes.

Conséquences du changement climatique

Quelles sont les conséquences directes ?
Les conséquences directes du déréglement climatique sont nombreuses :
  • les températures augmentent, la terre s'assèche ; cela entraîne des canicules et des incendies ;
  • l'eau potable se raréfie, le niveau des océans monte ; cela entraîne des migrations de populations
  • l'agriculture devient moins productive ; cela entraîne des famines.

Globalement, le déréglement climatique est source de déplacement de populations, et de tensions sociales fortes, qui vont en s'aggravant.
Quelles sont les conséquences indirectes ?
Sous le coup du changement brutal de climat, les écosystème se dérèglent. Par exemple, l'acidification des océans met en danger le corrail et le plancton, donc la survie des poissons -source majeure de nourriture-. La disparition de zones boisées entraîne des innondations, des glissements de terrain, et raréfie l'eau potable.

Que pouvons-nous faire ?

Comment pouvons-nous consommer mieux ?
Face à la situation, toute personne devrait consommer mieux. Les exemples les plus courants sont :
  • utiliser les produits fabriqués aussi longtemps que possible et les recycler ; ne pas céder à la tention du "neuf" ;
  • être raisonnable dans sa consommation d'énergie : ne pas trop chauffer l'hiver, ne pas climatiser l'été (sauf cas exceptionnel) ;
  • réduire ses voyages inutiles : les billets d'avion low-cost ont donné de mauvaises habitudes... ;
  • être raisonnable dans sa consommation numérique : ne pas charger des fichiers démeusurément volumineux ;
  • accepter des températures plus variables chez soi au cours de l'année : tolérer l'hiver de mettre un pull et de conserver son logement à 18°C ; ne pas climatiser l'été tant que la température est inférieure à 28°C ; ...
Une telle adaptation nécessite des efforts, mais ils sont nécessaires.
De très nombreux "consomm'acteurs" ont franchi le pas : ils consomment de façon raisonnable et incitent leurs proches à en faire autant.
Comment pouvons-nous produire mieux ?
Face à la situation, toute organisation devrait produire mieux. Chaque cas est différent, et les actions à entreprendre sont multiples, mais il s'agit en subtance de :
  • proposer des produits "long terme", réparables, dont la durée de vie serait allongée ;
  • choisir des sources d'énergie de façon réfléchie, et déterminer les lieux d'implantation d'une entité de production en fonction d'un critère écologique ;
  • repenser sa logistique et son organisation, par exemple pour utiliser des approvisionnements recyclés et réduire le transport de personnes ou de marchandises.
Une telle évolution ne passe pas forcément par une "décroissance". Il s'agit plutôt de trouver le bon équilibre entre CA, marge et durabilité.
Comment enclancher un effort collectif ?
Tout un chacun doit faire des efforts, et est en droit d'attendre des efforts des autres : un client devrait choisir un fournisseur "orienté climat".
Ainsi, l'ensemble des acteurs économiques pourra aligner ses efforts. Le sur-coût économique sera faible, et clairement négligeable en regard des conséquences si un tel effort collectif n'a pas lieu...
Comment compenser son empreinte carbone ?
Chaque personne, chaque organisation, peut "compenser" son empreinte carbone. L'exemple "grand public" consiste à planter des arbres, mais ce type d'action n'a guère d'impact tant que les arbres sont jeunes. Les effets ne se feront sentir que dans 10 ans...
Inversement, il y a un grand nombre de moyens de compenser son empreinte carbone via des actions efficaces à court terme, ne serait-ce qu'en aménageant des espaces verts localement.

Que propose 500ppm ?

Un accompagnement sur mesure
500ppm vous accompagne dans votre réflexion et dans votre action.
Avec une approche structurée et des méthodologies éprouvées, le cabinet mesure l'empreinte carbone de votre organisation, et propose des axes d'améliorations, ainsi que des méthodes de mesure.
Les collaborateurs sont au coeur de la démarche : l'expérience prouve qu'ils connaissent l'urgence de la situation, et qu'ils sont ravis de contribuer à l'effort mondial nécessaire.
Vous rendre autonome, tout en vous soutenant dans la durée
Les collaborateurs de 500ppm cherchent à transmettre leur savoir, pour que vos employés puissent "penser durable" en permanence.
Au-delà de cette autonomie, le cabinet sera toujours là pour vous soutenir, vous proposer de nouveaux axes d'amélioration.

Contact

Contact

Pour nous joindre, pour discuter, pour des renseignements... rien de plus simple :